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Article écrit par Malou Béziat, étudiante en M1 Littérature Générale et Comparée Dans le cadre d’un festival confiné pour cause de COVID-19, il est un peu ironique, peut-être, de produire un article sur la pandémie. Cependant, nous pouvons sûrement profiter de ce contexte pour penser une problématique étonnante, mais pourtant bel et bien existante la maladie se chante-t-elle ? La chanson, objet populaire, ne semble pas particulièrement propice à une réflexion sur la métaphore morbide. En effet, on préfère entendre une chanson d’amour, heureuse ou triste, qu’une chanson sur la maladie ; comme l’écrit Susan Sontag La maladie est une zone d’ombre de la vie, un territoire auquel il coûte cher d’appartenir. En naissant, nous acquérons une double nationalité qui relève du royaume des biens-portants comme de celui des malades. Et bien que nous préférerions tous présenter le bon passeport, le jour vient où chacun de nous est contraint, ne serait-ce qu’un court moment, de se reconnaître citoyen de l’autre Pourtant, ces chansons existent bien à cet égard, nous pouvons citer Tumeur » d’Aloïse Sauvage, Quand c’est ? » de Stromae ou encore l’album Black Star de David Bowie. Ce sont là des représentations relativement récentes de ce qui jusqu’alors semblait rejeté dans le domaine de l’obscène, ce que précisément on ne met pas en scène, qu’on ne montre pas. Or le cancer évoqué dans ces chansons reste, parmi les maladies, un objet noble une pathologie de l’intériorité, qui ronge, comme l’évoque Susan Sontag, parce que le sujet connaît un trop plein d’émotions, et contre laquelle on se bat. L’abondance métaphorique permet une mise en scène de l’individu comme héros tragique menant un combat contre lui-même, l’avènement non seulement du moi » mais aussi une plongée dans l’inconscient, un voyage initiatique qui le changera à jamais et aboutira à la guérison comédie ou à la mort tragédie. Mais qu’en est-il de la représentation de la maladie épidémique ? Celle qui se transmet et qui par sa transmission même se révèle stigmatisante ? À l’occasion de la trente-deuxième journée mondiale de lutte contre le SIDA le 1er décembre, il est important de rappeler que la maladie sévit toujours, et que les efforts tournés dans la lutte contre le COVID-19 tendent à invisibiliser la lutte contre le VIH. Cependant, le COVID-19, de loin, rappelle avec l’injonction d’une limitation drastique des contacts physiques cette problématique que le SIDA posait déjà la crainte de l’autre, des rapports amoureux, s’inscrivant ainsi à la fois en maladie d’amour » comme la décrivait Michel Sardou, mais également en maladie de l’amour », chargeant le contact amoureux de cette menace terrifiante de mort. Vous nous avez dit faites l’amour, pas la guerre. Nous avons fait l’amour, pourquoi l’amour nous fait-il la guerre ? » s’exclamait l’un des danseurs de Maurice Béjart dans Le Presbytère n’a rien perdu de son charme, ni le jardin de son éclat, ballet créé comme une réponse indignée à la mort du danseur Jorge Donn et à celle de l’emblématique chanteur du groupe Queen, Freddie Mercury, décédés tous deux des suites du SIDA. Ce dernier avait réalisé en 1991, l’année de sa mort, l’album Innuendo, et avait enregistré une ultime chanson co-écrite avec Brian May qui sortira en 1995 à titre posthume sur l’album Made in Heaven Mother Love ». Étrange objet que cette chanson, Mother Love », qui par son titre semble porteuse d’un idéal bouddhiste ou hippie d’amour universel, donnant la primauté originelle à cet amour, — se faisant écho d’un hédonisme caractéristique des années 1970-1980 et qui fut partagé par le groupe Queen à cet égard, on peut citer des chansons comme The Miracle » ou A Kind of Magic » — mais qui, par ses arrangements et ses paroles, prend en tous points les aspects de la plainte ainsi, l’amour de l’amour qu’a souvent manifesté Freddie Mercury dans ses compositions semble essoufflé. Les premières mesures, comme un pouls, laissent les synthétiseurs promener leur mélodie qui nous entretient déjà du ton mélancolique que prendra le texte, lorsque son chanteur soufflera d’une voix désabusée, profonde et grave I don’t want to sleep with you / I don’t need the passion too / I don’t want a stormy affair / To make me feel my life is heading somewhere / All I want is the comfort and care / Just to know that my woman gives me sweet / Mother love2 Mother Love » une impossible quête ? C’est en fait le récit d’une sublimation que nous dévoile Mother Love » Freddie Mercury, co auteur-compositeur-interprète de cette chanson, se prépare en effet à un changement d’état. L’amour physique ne lui permet plus de se réaliser. Bien plus, c’est un cri lancé à l’intime […] all the love that I crave3» qui s’échappe de cette chanson ; après les frasques d’une vie teintée de scandales, Freddie Mercury exprime un désir lacanien de retour impossible Mama please / Let me back inside4 ». Il cherche à se réfugier loin du bruyant amour » comme le qualifie François Jullien, cet Éros qui est en train de lui coûter la vie, mais bien au creux de cet origine en dedans », au plus intérieur de l’intérieur On comprend donc que cet intime se découvre originellement, et peut-être même de préférence, hors de la relation amoureuse, qui passionnée, captatrice, est, au départ et dans son principe, toujours intéressée. Son temps à lui est d’avant, du commencement. Il est de l’enfance, quand la séparation d’avec l’Autre n’est pas encore consommée l’intimité du C’est là tout l’enjeu de la chanson, la recherche désespérée mais résolue d’un endroit où mourir, mais pas n’importe lequel l’amour premier et inaltérable qui soit aussi sûr que la protection utérine pour se soustraire au monde dont on se sait éjecté bientôt, le besoin enfantin d’être rassuré I long for peace before I die6 ». En fait, Mother Love » porte en germe une révolution de l’intime, une opposition constante entre l’extériorité et l’intériorité, entre Éros et Agapè, qui livre une réflexion sur l’Amour en général, et sur ses variations I’ve walked too long in this lonely lane / I’ve had enough of this same old game / I’m a man of the world and they say that I’m strong / But my heart is heavy and my hope is gone / Out in the city, in the cold world outside / I don’t want pity just a safe place to hide7 Le refus de la pitié, alors qu’une partie de la tradition philosophique fonde la connaissance de l’autre sur ce sentiment, est selon François Jullien ce qui précisément est l’indicateur de la recherche de l’intime, cet endroit intérieur qui, dans son partage, crée le lien avec l’autre. Cette interprétation confirme la thèse de Susan Sontag, selon laquelle un des topoï de la littérature morbide est la métaphore du voyage initiatique on a la […] conviction que l’individu devient plus conscient lorsqu’il est confronté à sa » Cependant, le SIDA a cela de particulier qu’il est à l’époque où Freddie Mercury enregistre Mother Love » et encore aujourd’hui parfois considéré comme une maladie honteuse du fait de ses voies de transmission principales, sanguine ou sexuelle. vous étiez d’appartenir à ces groupes à risques qu’étaient les toxicomanes ou les homosexuels, la maladie révélant aux yeux de tous vos mœurs dans les deux cas taxées de déviantes. Susan Sontag indique à ce propos […] on prend le SIDA pour une maladie non seulement de l’excès sexuel, mais de la » ; ce stéréotype réactive des siècles de pensée judéo-chrétienne et voit le SIDA opportunément stigmatisant pour condamner la communauté LGBT+. Au travers de sa chanson, Freddie Mercury ne vient pas se repentir, sa confession n’adhère pas à cette lecture ; il vient au contraire réhumaniser, à l’époque où l’on craint ne serait-ce que de les toucher, les personnes vivant avec le VIH, en faisant résonner sa propre voix à l’aune de sa mort. On l’entend alternativement dire sa plainte puis la crier, on l’entend craindre et perdre espoir, avoir juste besoin de la triste main » amie dont parlait Alfred de Musset, pour accepter la catastrophe intime10 » de la maladie ; et si catastrophe » en grec est l’autre nom de ce qu’Aristote, dans sa Poétique, appelait péripétie », elle évoque comme elle un retournement dans l’action avant le dénouement de la pièce et la mort du héros. Peut-être, dès lors, peut-on voir dans le dernier couplet un exodos Freddie Mercury n’a pu mener jusqu’au bout l’enregistrement de cette chanson, trop épuisé et ne pouvant plus chanter. Aussi est-ce Brian May, prenant le rôle du Chœur, qui chante les derniers mots ou maux de son ami My body’s aching but I can’t sleepMy dreams are all the company I keepGot such a feeling as the sun goes downI’m coming home to my sweetMother Love11 La voix pré-enregistrée de Freddie Mercury passe comme un vent, répétant Mother Love » ; on peut entendre à sa suite résonner un extrait du concert de Wembley en 1986, où il s’amusait avec le public, puis un très court extrait accéléré de la discographie complète de Queen, ainsi qu’un extrait de la chanson Goin’ Back » et finalement, les pleurs d’un nourrisson au travers de ce chant du cygne, il aurait donc réussi son voyage vers le tout premier amour, celui de l’indissociable, de l’entier, nous donnant un magnifique exemple de comment se vit la maladie en chanson lorsqu’on s’appelle Freddie Mercury, qui parvient à l’extrémité de son talent à nous rendre jaloux, en nous faisant croire — c’est le propre du mythe — qu’il aura réussi à percer le secret des origines. Malou Béziat Susan Sontag, La maladie comme métaphore [1977-1978], suivi de Le sida et ses métaphores [1988-1989], tr. Marie-France de Paloméra pour La maladie comme métaphore et Brice Matthieussent pour Le sida et ses métaphores, Paris, Christian Bourgeois Éditeur, Choix-Essais », 1993, p. 46. [↩] Je ne veux pas coucher avec toi / Je ne veux pas non plus d’une passion / Je ne veux pas d’une histoire orageuse / Pour me donner l’impression que ma vie a un but / Tout ce que je veux c’est du réconfort et de l’attention / J’ai juste besoin de savoir que ma femme me donne la douceur / de l’amour maternel », notre traduction. [↩] […] l’amour dont j’ai tant besoin » [↩] Maman je t’en prie, laisse-moi revenir à l’intérieur en ton sein » [↩]François Jullien, De l’intime. Loin du bruyant amour, dir. Jean-Paul Enthoven, Paris, Grasset, Le Livre de Poche », 2013, p. 95. [↩] Je veux trouver la paix avant de mourir » [↩] J’ai trop erré dans ce paysage désertique / J’en ai assez de ce jeu de dupes / Je suis un homme du monde et ils disent que je suis fort / Mais mon cœur est lourd et mon espoir est mort / Au cœur de la ville, dehors dans ce monde glacial / Je ne veux pas de pitié mais un abri où me cacher » [↩]Susan Sontag, La maladie comme métaphore [1977-1978], suivi de Le sida et ses métaphores [1988-1989], tr. Marie-France de Paloméra pour La maladie comme métaphore et Brice Matthieussent pour Le sida et ses métaphores, Paris, Christian Bourgeois Éditeur, Choix-Essais », 1993, p. 46. [↩]Ibid, p. 151 [↩]Claire Marin, La maladie, catastrophe intime, Presses universitaires de France, Paris, 2014. [↩] Mon corps me fait mal mais je ne peux pas dormir / Mes rêves sont désormais mes seuls compagnons / Je ressens quelque chose de fort tandis que le soleil se couche / Je reviens chez moi dans la douceur / de l’amour maternel » [↩]
L’Union pour le développement culturelUDC en partenariat avec le bureau local de l’UNICEF a organisé une soirée musicale, jeudi dernier dans son siège. Cet événement festif s’inscrivait dans le cadre de la semaine nationale de lutte contre le VIH/SIDA, célébrée chaque année au mois de décembre. Dans la soirée jeudi dernier, les responsables de l’UDC ont célébré en musique avec la population du quartier d’Arhiba, la semaine nationale de lutte contre le VIH-SIDA. L’événement a vu la participation du président de l’UDC, Dr Mohamed Hassan Kamil, d’autres dirigeants de l’organisation non gouvernementale, et des invités de marque. Parmi lesquels figuraient la chargée de projet au bureau local de l’UNICEF, Hasna Abdallah, et la cheffe du programme axé sur l’éducation et la prévention du VIH, Constance Kouakou. Notons aussi la présence sur les lieux des notables coutumiers, un bon nombre d’adhérentes d’associations féminines et de jeunes d’Arhiba. Les unes et les autres ont vibré ensemble au rythme des morceaux musicaux qui faisaient passer des messages de sensibilisation sur les risques de contamination au sida. Tant mieux si ces rimes mélodieuses provoquent un déclic salvateur dans les esprits des mélomanes face aux dangers du sida. C’était du moins l’objectif de l’UDC qui poursuit depuis 2008 en étroite collaboration avec l’UNICEF des actions de sensibilisation ciblant les adolescents sur le terrain. Qu’ils soient scolarisés ou non. De plus, cette structure associative a accompagné l’évolution socioculturelle et éducative de notre nation. Elle est actuellement un partenaire des pouvoirs publics et des organisations internationales dans le cadre du développement social des populations djiboutiennes. Souber
festival musical pour la recherche contre le sida